Les Cyclo-voyageurs Matyas Amaya (@Matyamayaporelmundo) et Ferran Catalán (@pedaleamundo) nous racontent comment c’est de Voyager avec Tannus.
INTRODUCTION
Le 22 août dernier, on vous présentait Matyas Amaya. Aujourd’hui, on vous tient au courant de la dernière étape de son objectif (Coupe du monde de Russie 2018), et on vous présente également Ferran Catalán, un autre cyclo-voyageur qui nous a raconté son expérience avec Tannus, tout cela accompagné d’un excellent reportage photo.
C’est sans aucun doute, un grand test de durabilité et une mise à l’épreuve du composé Aither de Tannus.
Matyas Amaya
Si vous ne le connaissez pas encore, vous pouvez consulter notre dernier post dans lequel on résume en quelques lignes qui est Matyas Amaya et la raison de son voyage.
Après son séjour en Hollande, Maty continue son périple européen.
Ces derniers mois, il a parcouru une grande partie de l’Italie et se rapproche de plus en plus de la ligne d’arrivée. Dans l’un de ses post, il a partagé avec ses followers ses impressions et surprises. Matyas nous explique comment se passe le changement des pneus traditionnels aux pneus Tannus et le compare à un changement de chaussures. Il faut leur laisser le temps aux neuves de se faire à ton pied.
Peu à peu, il commence à se sentir mieux avec les Tannus et se concentre sur le plaisir du voyage sans se rendre compte de l’état de la route et de tout objet susceptible d’endommager ses pneus.
Après plus de 5.000 km parcourus, il a dû remplacer le Tannus arrière par un pneu beaucoup plus épais, semblable à celui d’une moto, en raison du poids qu’il chargeait à l’arrière. Le comportement du pneu en était affecté et il perdait en performance. C’est pourquoi il n’utilisera sur ce dernier tronçon qu’un pneu Tannus à l’avant. Pour rappel, seul sur son vélo il pèse environ 80 kg, mais Maty “porte sa maison sur son dos” ce qui fait un poids total d’environ 150 kg. Aujourd’hui, Matyas estime qu’il s’agit d’un pneu idéal pour les cyclotouristes de courte et moyenne distance et pour ceux qui souhaitent parcourir de longues distances sans trop de poids.
Pour terminer, il révèle 2 cas particuliers où être équipé de Tannus a été d’une grande utilité et une sécurité supplémentaire.
1- La température et les Tannus
L’une des raisons pour lesquelles on disait qu’il s’agissait d’un excellent test et mise à l’épreuve est le cas suivant:
Matyas est sans aucun doute un cyclo-voyageur qui n’a peur de rien. En descendant le mont Etna, à plus de 2.000 mètres d’altitude sur une route de pente supérieure à 10%, les roues de Matyas avaient atteint une température si élevée que l’une d’entre elles a explosé. Comme il le raconte, il aurait pu faire une chute grave s’il ne comptait pas sur sa roue avant, le pneu Tannus, qui n’a subi aucun dommage.
2– La montagne et les Tannus
Cette fois-ci un cas moins extrême bien que ce soient ces petits détails que l’on raconte au retour d’un voyage et desquels on se souvient. De tout le groupe d’amis avec lesquels il était sorti en montagne, Matyas était le seul à ne pas crever et à ne pas avoir à s’arrêter pour calibrer ses roues.
“Dernière ligne droite”
Avec seulement deux pneus Tannus, il a parcouru une grande partie de l’Europe et environ 8.000 km à travers la France, la Belgique, la Hollande, l’Autriche, en passant par les Dolomites jusqu’à atteindre l’Italie. Sur ce tronçon, l’un des pneus le lâche mais l’autre atteindra la Russie en passant par la Croatie, l’Autriche, la République tchèque, la Pologne, la Lituanie, la Lettonie et l’Estonie.
Une belle aventure!
Ferran Catalán
Ferran nous a contactés durant le mois de novembre en entendant parler de nos nouveaux pneus. Ce cycliste sympathique nous a surpris par les magnifiques photographies et expériences qu’il partage sur les réseaux sociaux (@pedaleamundo).
Dans ce voyage, le modèle qu’il a utilisé était le Tannus Shield 700×32 Sahara.
Il a démarré au Brésil, du 6 décembre 2017 au 25 février 2018, et est passé par les pays d’Amérique du Sud suivants : Paraguay, Uruguay, Argentine et Chili. Une distance d’environ 4.200 km, avec beaucoup de kg sur le dos.
Après son voyage en Afrique, Ferran est arrivé à São Paulo, d’où il est parti pour parcourir la côte brésilienne jusqu’à Rio de Janeiro, avec un certain sentiment d’insécurité: il ne connaissait pas les routes, ne savait pas comment il serait reçu, ni quels endroits seraient les plus sûrs pour dormir (raconte-t-il sur son blog).
Le terrain par lequel Ferran a dû passer a été en quelque sorte plus « dur » que celui que Matyas a parcouru. Beaucoup de tronçons non goudronnés ou en mauvais état qui rendent le voyage difficile. Malgré cela, avec l’aide de notre distributeur au Brésil, on a pu lui faire parvenir le modèle Shield 700×32, qui s’est très bien comporté dans ces conditions.
Ses impressions vis-à-vis des Tannus sont similaires à celles de tout nouvel utilisateur. Au début, la sensation est différente, mais après quelques kilomètres, ils se modèlent et donnent les mêmes sensations que des pneus traditionnels, en plus de la tranquillité de ne pas crever.
À l’étape suivante, le Paraguay, il a été très bien accueilli et n’a pas eu besoin de monter sa tente. Il a même pu rencontrer un club de cyclisme à Katueté, avec lequel il a pu partager quelques sorties. Ils lui ont même offert du matériel.
Une fois le Paraguay parcouru, il a traversé toute l’Argentine pour arriver avec son vélo au “bout du monde”, Ushuaia, avec vue sur le Chili.
Arrivé au Chili, il nous a envoyé son reportage photo accompagné du feedback de son voyage avec les Tannus.
Observations qu’il nous a envoyées:
- Garder les outils de montage avec soi, si tu vas faire un long voyage, il est conseillé de les avoir sous la main.
- Éviter les routes très boueuses, la roue n’adhère pas bien à ce type de terrain.
- Ils se comportent bien sur le bitume, les chemins de terre sèche et à des températures allant de 5°C à 50°C.
- Ils supportent une charge d’environ 140 kg.
- La vitesse moyenne diminue d’environ 1 km/h.
- À aucun moment tu n’as pas à te soucier de la pression des pneus ou des crevaisons.
- L’impossibilité de crever m’a permis d’accéder à des zones avec des terrains plus hostiles, cela me donne plus de liberté.
- J’ai allégé la charge à transporter en supprimant les pneus et chambres de rechange, la pompe et les rustines.
- Je suppose que des pneus plus durs et plus larges, comme le Shield 700 × 40, me permettraient d’améliorer certains points.
Desde Tannus queremos agradecer tanto a Matyas como a Ferran por este gran test y por
dejar conocernos como es el estilo de vida de un Cicloviajero.
Ne rate pas leur périple sur:
Matyas Amaya:
Interviews: https://www.youtube.com/watch?v=k4pOxz_vLOY
Ferran Catalán:
https://www.pedaleamundo.com/blog/
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